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mardi 29 novembre 2011

Élément Culturel 4

La poutine

Recette :
Frite
Fromage en grain
Sauce brune

La poutine est une met fort simple à faire certes, mais faire une bonne poutine n'est pas chose facile.

Intégration dans un cours.

Les étudiants devront trouver une recette d'une culture quelconque, faire une petite recherche sur l'historique, et en préparer.

lundi 21 novembre 2011

Journal de Bord 4 S-H

Le passeur culturel

La multiethnicité est un phénomène grandissant dans la société canadienne. Je ne suis pas sociologue, mais ayant vécu dans plus de dix villes à travers trois provinces, j’ai remarquée que cette diversité culturelle est plus répandue dans le Canada anglais qu’au Québec. Toutes ses cultures qui s’agencent avec celle de notre pays sont toujours intéressante à connaitre et d’autant plus lorsqu’elles sont enseignées par un membre actif de celle-ci.

Mais comment intégrer des éléments culturels dans un cours de français au secondaire ?
En secondaire 3, mon professeur de géographie commençait chacun de ses cours par un petit cinq minutes d’actualité et de question sur ces événements. Mais l’actualité peut être plus facilement connexe avec la géographie qu’avec le français.
Ma première réaction à ce travail fut celle-ci : Le français en Nouvelle-Écosse à requière d’aide, et je ne perdrais pas mon temps à discuter de culture lorsque le besoin de bons cours de grammaire est si grand. Toutefois après mure réflexion j’en suis venu à la conclusion suivante : L’apprentissage de la grammaire ne se limite pas seulement à des cours magistraux. On peut l’intégrer par des lectures de livres, l’appliquer par la rédaction de textes, et mélangeant ces deux concepts, je pourrai offrir un répertoire de lecture de roman écrit dans les cultures des étudiants présent dans la classe, et ensuite leur donner un conte-rendu de lecture.
La francophonie regroupe un vaste nombre de pays qui ont tous des auteurs de roman de qualité qui peuvent être étudié en classe par cela parlé de culture.

Le Français est ma première branche de mon baccalauréat en éducation. Ma seconde branche, est l’histoire, et selon moi, la culture et l’histoire sont deux branches bien connexes qui s’agencent facilement ensemble. En tant que professeur d’histoire au secondaire, je vais prendre un dix à quinze minutes au début de chaque cours afin de parler d’un élément de culture populaire complémentaire au temps de l’année, par exemple noël, est une célébration fort populaire au Canada et je considère intéressant de discuter des origines de la fête. Mais je veux également discuter d’éléments tels que la signification de la monnaie canadienne.

Maintenant, présenter des éléments culturels de Canadiens est fort important certes, mais exposer ceux des diverses cultures exotiques afin de les assimiler tranquillement aux nôtres est une excellente façon d’intégrer les étudiants d’une différente ethnicité. Toutefois cette présentation ne doit pas nécessairement se limiter à la salle de classe. Des activités parascolaires sont, selon moi, la meilleure façon d’en faire l’exposition. Premièrement parce que certains étudiants ne sont pas forcément intéressés par la connaissance de leurs racines, comme moi par exemple, qui vient d’un père Haïtien et d’une mère Québécoise, je n’ai jamais été intéressé à en connaitre plus sur l’Haïti, je n’y suis jamais allé. Je suis né au Canada, et c’est cette culture qui m’intéresse. Deuxièmement, en mélangeant les étudiants Canadiens et ceux de culture ou pays différents, cela aidera la compréhension de ces cultures.

Ce que je propose est fort simple, un travail et présentation qui réunira non seulement les élèves, mais les parents dans une festivité culturelle où les élèves présenteront un mini kiosque sur un élément culturel d’un pays quelconque. Les jeunes seront fortement invités à s’éloigner du mode de conception de kiosque connu, c.-à-d. présentation simple, d’explication et de démonstration, en intégrant des contenus gastronomiques, musicaux, artistiques, etc. L’objectif de ce travail est notamment d’intégrer les jeunes dans la diversité culturels au Canada, mais également les parents, en leur montrant la chance qu’ils ont d’avoir leurs horizons ouverts de cette façon.
Puisque j’aime écrire et cuisiner, une autre chose qui serait intéressante à faire, serait de demander aux étudiants de cuisiner avec leur mère ou leur père une recette familiale et de les faire goûter à la classe le lendemain. Nous pourrions ensuite faire un grand livre de recettes combinant toutes nos créations qu’on distribuerait à la classe.

L’enseignant afin de rejoindre ses élèves doit devenir un passeur de culture, il toit être au diapason des événements culturel de sa région tel que le Francofestival, où les festivals de culture africaine, etc. Il doit faire des activités avec ses étudiants de sorte qu’ils s’intéressent et peut-être même s’impliquent dans ces mélanges culturelles. Comme je me suis porté garant de bénévolat au francofestival, je vais m’assurer, lorsque je serais professeur, que mes élèves y aillent et participent aux activités. Il est fort important qu’ils célèbrent leurs racines Acadiennes. Moi-même descendant acadien ! Quoi ? Pensez-vous probablement… Bien sure, ma mère est Québécoise et son nom de famille est Béliveau, il n’y a pas plus acadien que cela. Donc, étant descendant acadien, je devrais me mettre au diapason sur mes origines Canadiennes afin de les enseigner et les partager avec mes futures étudiants.

lundi 14 novembre 2011

Journal de bord 4 Modèle et Pratiques

L'évaluation

Au dernier cours, nous avons discuté d’évaluation et de grille d’évaluation. Je trouve l’évaluation un sujet de journal de bord primordial, puisqu’il s’agit là d’au moins 30 % du travail que nous, en tant que futur enseignant nous aurons à faire. Évaluer semble fort simple, mais ce ne l’est pas. Durant ma semaine de stage, madame Déry, m’a demandé de corriger plusieurs travaux d’élèves et d’évaluer les présentations des étudiants qui se préparaient à leur examen de la semaine suivante. Nous avons ensuite comparé nos résultats, et je dois dire que j’étais peu sévère dans ce qui attrayait sur la présentation en tant que telle, mais en revanche j’étais trop sévère sur la qualité du français. En somme cette activité ne fut aussi facile que je me l’imaginais, et je l’ai mentionné à madame Déry dans ma lettre de remerciement. Or il est capital d’avoir une bonne grille d’évaluation avant même de remettre le travail à faire.

En didactique des sciences humaines, suite à la présentation de Roy, j’ai appris que les devoirs n’étaient plus sujets à évaluation au CSAP. Toutefois avec madame Déry et durant un travail de monsieur Barry Rowe en didactique du FLS je vu un système d’évaluation interactif, si je puis dire qui permet aux étudiants d’aller se chercher des points supplémentaire. Le système est le suivant :

o orthographe                                                 v faute de verbe (conjugaison)
p faute de ponctuation                                    a anglicisme
/ paragraphe mal construit                               g faute de genre
^ mot(s) oublié (s)                                           ( ) mot à omettre
voc. mot inexact                                              --- mot mal employé
pré mauvais emploi de la préposition
pron mauvais emploi du pronom
m.c. mal construit (faute de syntaxe)

Or en français, lorsqu’un étudiant fait une faute, l’enseignant inscrit le code correspondant et c’est à l’élève de trouver et corriger son erreur. Et même, si les devoirs ne sont par sujet à évaluation sommative, le professeur peut demander que les élèves corrigent leurs fautes et donner des points bonis s’ils réussissent. Renforcement Positifs !


Élément culturel 4

Intégration d’éléments culturels dans mon cours

La multiethnicité est un phénomène grandissant dans la société canadienne. Je ne suis pas sociologue, mais ayant vécu dans plus de dix villes à travers trois provinces, j’ai remarquée que cette diversité culturelle est plus répandue dans le Canada anglais qu’au Québec. Toutes ses cultures qui s’agencent avec celle de notre pays sont toujours intéressante à connaitre et d’autant plus lorsqu’elles sont enseignées par un membre actif de celle-ci.

Mais comment intégrer des éléments culturels dans un cours de français au secondaire ?
En secondaire 3, mon professeur de géographie commençait chacun de ses cours par un petit cinq minutes d’actualité et de question sur ces événements. Mais l’actualité peut être plus facilement connexe avec la géographie qu’avec le français.
Ma première réaction à ce travail fut celle-ci : Le français en Nouvelle-Écosse à requière d’aide, et je ne perdrais pas mon temps à discuter de culture lorsque le besoin de bons cours de grammaire est si grand. Toutefois après mure réflexion j’en suis venu à la conclusion suivante : L’apprentissage de la grammaire ne se limite pas seulement à des cours magistraux. On peut l’intégrer par des lectures de livres, l’appliquer par la rédaction de textes, et mélangeant ces deux concepts, je pourrai offrir un répertoire de lecture de roman écrit dans les cultures des étudiants présent dans la classe, et ensuite leur donner un conte-rendu de lecture.
La francophonie regroupe un vaste nombre de pays qui ont tous des auteurs de roman de qualité qui peuvent être étudié en classe par cela parlé de culture.

Le Français est ma première branche de mon baccalauréat en éducation. Ma seconde branche, est l’histoire, et selon moi, la culture et l’histoire sont deux branches bien connexes qui s’agencent facilement ensemble. En tant que professeur d’histoire au secondaire, je vais prendre un dix à quinze minutes au début de chaque cours afin de parler d’un élément de culture populaire complémentaire au temps de l’année, par exemple noël, est une célébration fort populaire au Canada et je considère intéressant de discuter des origines de la fête. Mais je veux également discuter d’éléments tels que la signification de la monnaie canadienne.

Maintenant, présenter des éléments culturels de Canadiens est fort important certes, mais exposer ceux des diverses cultures exotiques afin de les assimiler tranquillement aux nôtres est une excellente façon d’intégrer les étudiants d’une différente ethnicité. Toutefois cette présentation ne doit pas nécessairement se limiter à la salle de classe. Des activités parascolaires sont, selon moi, la meilleure façon d’en faire l’exposition. Premièrement parce que certains étudiants ne sont pas forcément intéressés par la connaissance de leurs racines, comme moi par exemple, qui vient d’un père Haïtien et d’une mère Québécoise, je n’ai jamais été intéressé à en connaitre plus sur l’Haïti, je n’y suis jamais allé. Je suis né au Canada, et c’est cette culture qui m’intéresse. Deuxièmement, en mélangeant les étudiants Canadiens et ceux de culture ou pays différents, cela aidera la compréhension de ces cultures.

Ce que je propose est fort simple, un travail et présentation qui réunira non seulement les élèves, mais les parents dans une festivité culturelle où les élèves présenteront un mini kiosque sur un élément culturel d’un pays quelconque. Les jeunes seront fortement invités à s’éloigner du mode de conception de kiosque connu, c.-à-d. présentation simple, d’explication et de démonstration, en intégrant des contenus gastronomiques, musicaux, artistiques, etc. L’objectif de ce travail est notamment d’intégrer les jeunes dans la diversité culturels au Canada, mais également les parents, en leur montrant la chance qu’ils ont d’avoir leurs horizons ouverts de cette façon.
Puisque j’aime écrire et cuisiner, une autre chose qui serait intéressante à faire, serait de demander aux étudiants de cuisiner avec leur mère ou leur père une recette familiale et de les faire goûter à la classe le lendemain. Nous pourrions ensuite faire un grand livre de recettes combinant toutes nos créations qu’on distribuerait à la classe.

L’enseignant afin de rejoindre ses élèves doit devenir un passeur de culture, il toit être au diapason des événements culturel de sa région tel que le Francofestival, où les festivals de culture africaine, etc. Il doit faire des activités avec ses étudiants de sorte qu’ils s’intéressent et peut-être même s’impliquent dans ces mélanges culturelles. Comme je me suis porté garant de bénévolat au francofestival, je vais m’assurer, lorsque je serais professeur, que mes élèves y aillent et participent aux activités. Il est fort important qu’ils célèbrent leurs racines Acadiennes. Moi-même descendant acadien ! Quoi ? Pensez-vous probablement… Bien sure, ma mère est Québécoise et son nom de famille est Béliveau, il n’y a pas plus acadien que cela. Donc, étant descendant acadien, je devrais me mettre au diapason sur mes origines Canadiennes afin de les enseigner et les partager avec mes futures étudiants.


mercredi 26 octobre 2011

Journal de bord 3 modèles et pratiques


Journal de bord 3 modeles et pratiques


Le dernier cours en M&P à été principalement dédié sur la préparation pour le rapport du stage. Ce n’était pas certes, le seul domaine de discussion du cours, mais il fut le plus captivant de tous, puisque l’imminence des stages est si grande.

Je suis allé rencontrer les deux professeurs qui me serviront de guide dans ce premier pas vers ma carrière en éducation. J’ai premièrement rencontré monsieur Collette, professeur en histoire aux années 10, 11 et 12. Il enseigne également à l’université de Moncton, et jusqu’à quelques années passées, il enseignait à l’institut fleur de lys, là où je travaille depuis maintenant un mois.
J’ai ensuite rencontré madame Déry qui enseigne le français aux mêmes années que M. Collette.

Le deux enseignants ont été très heureux de me rencontrer, et étaient, tout comme moi, impatients de commencer le stage. Ils m’ont tous deux remis des pages et des pages de lecture en préparation à ma venue : syllabus de leurs cours, manuel, roman, livres de nouvelles… J’ai commencé la lecture de l’Étranger d’Albert Camus, et je dois dire, que ce livre prend la place dans mon top 5 des pires livres que je n’ai jamais lu !

Je suis présentement dans l’avant dernière journée de mon stage, ayant la période libre, j’ai décidé de m’avancer dans mes devoirs. Les deux enseignants sont excellents, et cela, malgré les défis linguistiques que madame Déry rencontre chaque jours. Assister à ces cours de français, revivre l’ambiance de l’école secondaire m’a rappelée… me rappelle présentement les raisons qui m’ont fait détester cet institution et pourquoi je n’ai jamais considérés une carrière en enseignement. Ma venue en ce milieu fortement anglophone et la demande de français grandissante me fit espérer pouvoir changer ma conception de l’emploi, mais je me vois maintenant dans une impasse et je ne pourrais accomplir ce travail.

Je me suis porté volontaire à la supervision de deux activités, la dance d’Halloween de ce soir et les jeux des étudiants en baccalauréat international de demain soir. Selon m. Collette qui remplace la directrice adjointe de l’école, mon offre de bénévolats à grandement été appréciée par le directeur.

Monsieur Collette, qui travaille sur un nouveau projet avec sa classe de 11ième années, m’a demander de faire une rétroaction sur cette activité, et lui donnant mon opinion, il m’a demandé de préparer une activité pour sa classe de 12ième qui aura lieu dans deux semaines. Il m’a également invité à revenir en classe à ce moment afin de proposer l’activité à ses sept élèves. Suivant les idées de madame Handy, mon activité comportera en la création de blog informatif sur une personnalité marquant de la deuxième guerre mondiale. Je compte présenter les résultats de ce travail au courant du cours de Didactique de sciences humaines.


mercredi 19 octobre 2011

Journal de Bord 3 Sciences Humaines


Journal de bord S-H 3

Mes jours sont comptés, et bientôt, je serai finalement libre de ces sciences humaines qui me hantent depuis ma première année du Cegep. Je ne dis pas cela de manière péjorative, mais l’histoire qui est mon deuxième volet, ne m’a jamais vraiment attirée. Si j’avais à l'enseigner au secondaire, je préparerais, comme je le mentionne dans mon élément culturel 5 du cours d’Étude en milieu minoritaire, un cours strictement basé sur la culture. C’est-à-dire, la culture populaire du Canada, non pas simplement du Québec, ou de la Nouvelle-Écosse, ou encore de l’Acadie. Je passerai, au courant de l’année, à travers toutes les fêtes connues et des éléments de culture générale intéressants à connaitre, par exemple, l’origine de la poutine, où la signification de la monnaie canadienne. Hélas, mes jours sont comptés et bientôt mon second volet sera les arts. Toutefois les connaissances de ce cours sont loin d’être perdues.

Au dernier cours, nous avons eu le privilège de recevoir un invité qui nous partagea ses connaissances sur l’histoire des acadiens. Étant né au Québec l’histoire du Canada au secondaire se limite vraiment à Jacques Cartier est arrivé en 1534 et on parle du Québec. Les Acadiens se furent déportés et ce fut la fin de ce chapitre, rien de plus rien de moins. Je dois avouer que ce petit cours accéléré sur la vie des Acadiens m’a fortement intéressé. Étant de descendance Acadienne moi-même, je trouve fort captivant d’en apprendre sur mes racines. La partie sur la vallée d’Annapolis m’a aussi bien intéressée et je me suis renseigné sur le phénomène de la crue des eaux et j’ai trouvé ceci : http://www.raftingcanada.ca/ Du « rafting » qui commence au fond de la rivière et lorsque les courants reviennent et se frappent le bateau est propulsé dans les airs. Je vais essayer cette expérience l’année prochaine lorsqu’il fera plus chaud,

Dans mes cours, en tant que futur enseignant, je veux bâtir un cours de français basé sur la créativité littéraire, puisque ce fut le centre d'attention principal, si je puis dire, de mon premier bac, et je désir partager mes connaissances avec mes futurs élèves afin qu’ils apprennent à utiliser leur imagination ainsi que leurs acquis linguistiques suivant une structure définie pour qu’ils puissent créer des histoires, des poèmes, des récits fabuleux. Or, je vais inviter le plus souvent possibles des auteurs, des éditeurs, des personnes ressources travaillant dans le domaine de l’écrit pour qu’ils puissent prodiguer des conseils, des anecdotes et des guides de cheminement de carrière.

J’ai hâte d’entamer ma carrière de professeur au secondaire.

jeudi 6 octobre 2011

Journal de Bord 2 du cours de Modèle et Pratique PEDA 3283

Journal de bord 2 Modèle et pratique

Les deux derniers cours de modèles et pratiques furent fort intéressant notamment par le contenu, mais aussi par le style d’enseignement adopté par le professeur. Nous étudiants, mais future enseignants, (je peux maintenant m’exclure de ce groupe puisque depuis ce matin, je suis un professeur de français langue seconde à l’institut Fleur de Lys) avons donnés les deux dernier cours en présentant les résumés des textes que nous avons lus.

Voici ce que j’ai bien aimé. Premièrement le constructivisme, qui était ma partie, les théories de Piaget sur les trois stades d’apprentissage sont forts intéressantes mais je ne suis pas d’accord avec lui lors qu’il dit que certains contenus d’apprentissage ne peuvent être assimilés qu’à un certain stade du développement. Au contraire je partage plus les théories de Bruner stipulant que l’information peu importe sa difficulté peut être assimilée par n’importe quel apprenant du moment que la qualité du médiateur est proportionnelle.

Je me considère plus un béhavioriste que constructiviste. Les théories de Burrhus Frederic Skinner sur le renforcement et la punition sont des concepts que j’aime bien. Plus précisément le renforcement positif qui stimulera les étudiants.

 

Deuxièmement la mémorisation. La mémoire est une des forces de ma famille paternelle, toutefois il est toujours intéressant d’apprendre de nouveau trucs raffinant cette grande forteresse qui conserve toute l’information que j’y entasse afin d’en laisser s’échapper le moins possible. Ces trucs seront également utiles pour l’enseignement du français. Apprendre le féminin / masculin, les règles du français, les exceptions, les anglicismes à éviter les figures de styles… etc. Je devrais donner des conseils à mes futurs et présents étudiants afin qu’ils puissent mémoriser toute l’information essentielle pour devenir d’excellents maîtres et maîtresses de la langue française.

École et autonomie culturelle


mercredi 5 octobre 2011

jeudi 29 septembre 2011

Élément Culturel 3

Élément Culturel 3

Voici un sujet culturel qui n’est pas vraiment à la une des nouvelles, mais qui n’en reste pas moins présent dans notre société. En quelque sorte il touche brièvement certains aspects des cours en éducation lorsqu’on parle de décrochage causé par une grossesse d’adolescente.

Comme ma copine à 30 ans et très avancée dans sa carrière au sein du gouvernement fédéral et que moi à 28 ans, je commencerai bientôt ma carrière d’enseignant, nous pensons fortement à adopter un enfant. En fait nous sommes déjà dans le processus de sélection de parents. Nous commencerons nos cours obligatoires sur l’art d’être parent ce samedi 1er octobre. Or cet élément culturel abordera mon cheminement dans l’adoption en Nouvelle-Écosse. Je discuterai des apprentissages qui me seront offerts au cours de prochaines séances chaque samedi.

L’adoption de Phil & Erin
Introduction
On pourrait croire qu’adopter un enfant est chose simple, mais détrompez-vous, il s’agit d’un processus ardu et qui peut prendre jusqu’à huit ans. Effectivement, le gouvernement voit à ce que ces enfants placés dans des foyers, soient entre bonnes mains.

Nos raisons
Ma copine Erin et moi, avons décidé que nous voulions adopter deux jeunes filles, et avoir un enfant de la bonne vieille méthode. Puisqu’il y a tellement d’enfants nécessitant une bonne demeure, nous désirons faire notre part pour aider la communauté. Présentement, selon le bureau d’adoption de Dartmouth, les couples interraciaux sont en demande pour l’adoption de jeunes enfants noirs. Bien que ma mère soit Québécoise et que seul mon père vient d’Haïti, je compte néanmoins comme minorité visible.

Adoption locale
Notre première adoption se fera localement, puisque, étant aux études pour au moins 5 années, nos finances ne sont pas suffisamment à l’aise pour nous permettre d’adopter un enfant d’un autre pays et les critères d’éligibilités de certains pays tel que l’Haïti sont ridicules. Or notre première fille viendra probablement de la Nouvelle-Écosse et se nommera Zoé. Moi, étant de famille francophone et Erin de famille anglophone, nous avons choisi exclusivement des prénoms faciles à prononcer dans les deux langues.

Adoption Internationale
Aussitôt que ma carrière d’enseignant prendra son envol, Erin et moi en ferons de même et irons adopter notre seconde fille au Vietnam. Selon des recherches que nous avons faites, plus Erin que moi, la monoparentalité est illégale au Vietnam ! Illégale !!! Or de nombreux enfants sont délaissés sans parents, sans foyer. C’est pourquoi nous avons décidé d’en adopter un. Elle se nommera Noëlle, et nous l’élèverons dans des traditions Canadiennes et Vietnamiennes.
Et par surcroit, le Canada a besoin d’augmenter sa population s’il veut pouvoir supporter la quantité inimaginable de baby-boomers, qui dans les prochaines années seront à retraite.

La raison pour laquelle, j’ai choisi d’introduire cet élément culturel, est le suivant : dans les cours d’enseignement on discute souvent de décrochage. Quelques raisons qui peuvent pousser un étudiant à décrocher de l’école sont le manque d’appartenance à une famille ou encore une famille qui ne se soucient pas suffisamment de ses enfants. Je veux m’assurer que deux de ces enfants aient une bonne famille et ainsi avoir toutes les chances de leur côté afin de réussir.
Une autre chose que j’aimerai ajouter et cela serait primordial à mentionner dans ce cours de « Milieu minoritaire », on parle de faire des projets culturels avec les élèves afin qu’ils connaissent leurs racines, mais qu’en est-il des enfants adoptés où voyageant de familles d’accueils en famille d’accueils ? Certains d’entre eux n’ont aucune idée de leurs origines et pourraient se sentir mis à l’écart ou frustré. Cela pourrait le faire perdre engouement envers l’école.

Les cours de parents
Au cours de mes cours parentaux, j’apprendrais sans aucun doute de l’information qui me sera utile dans ma carrière d’enseignant. Je vous en ferai part lors de mon prochain élément culturel la semaine prochaine. Alors sur ce…

À suivre…